Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le blog d'un homme ordinaire
7 octobre 2009

50 Cléopâtre Une culotte vibromassante

On peut violer les lois sans enlever la culotte

Professeur Choron

L’album commence par 50

Cléopâtre

Un jour, toujours dans mon bistro favori, j’ai eu une conversation intéressante avec un personnage assez pittoresque.

Une femme, des bagues aux dix doigts. On aurait dit Cléopâtre !25805984_m

Après une discussion anodine, j’en viens à demander ce qu’elle fait dans la vie.

Timidement elle me demande si je connais les pratiques SM !

Je lui dis que oui, elle me dit qu’elle pratique le métier de Maîtresse professionnelle, qu’elle s’appelle Cathy la croqueuse.

Dans le domaine, elle pratique uniquement une spécialité : le cock and ball (travail des couilles) à l’exclusion d’autres choses.

Sa méthode : d’abord manuelle. Le patient entravé de telle sorte qu’il ne puisse pas mettre la main à son sexe. Elle le presse très fortement, ainsi que les bourses en serrant très fort avec les mains.

« Le type a mal, et au plus il essaye de se débattre, au plus il crie au plus je sers. Je presse aussi le périnée.

Après cette mise en route, je passe aux étaux sur les couilles et au fourreau métallique autour de la bite. Les deux appareils ont des vis que je serre progressivement au maximum.

Je le libère et lui fourre un gode-martinet dans le cul.25805981_m

Il doit se mettre à genoux puis à plat ventre. Je lui passe des menottes aux poignets et aux chevilles et alternativement, je le traîne au bout d’une chaîne. Le frottement de l’étau et du fourreau sur le sol, ce n’est pas de la tarte !

Quand, c’est fini, il doit retirer le gode-martinet de son cul et s’autoflageller ce qui m’excite beaucoup.

Bizarre, vous avez dit bizarre ?

11528_111528_2Une culotte vibromassante 

S'il y a bien une scène de The Ugly Truth dont vous aller entendre parler, c'est celle de l'orgasme dans le restaurant. Comme dans Quand Harry rencontre Sally. À cette différence que la productrice jouée par Katherine Heigl ne simule pas : elle est victime d'une culotte vibromassante !

"Je suis très méthodique, a-t-elle expliqué. Mais c'était épuisant à cause des mouvements et de la tension du corps. À la fin de la journée, j'avais l'impression d'avoir couru un marathon. Maintenant, je sais pourquoi on dit que les comédies sont très physiques. Et je peux vous affirmer que personne ne veut avoir 35 orgasmes !"

Le tournage de cette seule scène a en effet pris une journée entière. Et requis 35 prises de vues différentes. "Les figurants n'étaient pas au courant au départ, explique en riant le réalisateur Robert Luketic. Et certains se sont vraiment demandé dans quel genre de film ils tournaient en entendant Katherine soupirer bruyamment !"

Méticuleuse jusqu'au bout des ongles, cette dernière ne s'est pas contentée de simuler l'extase sur le plateau. Elle a ramené ses devoirs à la maison, poussant la conscience professionnelle jusqu'à essayer pendant ses heures de loisirs la fameuse lingerie du plaisir. "J'ai ramené la culotte vibrante chez moi, a-t-elle confié au Sun. Je suis très impliquée dans mes rôles. Mais je dois vous dire que cela ne marche pas du tout. Ce n'est pas un bon achat, les filles..."

A méditer la conscience professionnelle.

Publicité
Commentaires
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Le blog d'un homme ordinaire
Le blog d'un homme ordinaire
Publicité