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Le blog d'un homme ordinaire
18 septembre 2009

48 je passe à la casserole Les érections

L’album commence par 48 

Les deux hommes partis,  je dois moi aussi passer à casserole.  Mes couilles s’en souviennent encore

Le « vieux » ne sait même pas qu’il a été filmé. Quand on s’ennuie on regarde le DVD enregisté à leur insu et on se marre et d’ailleurs c’est valable pour toutes nos « victimes ».

Je m’en vais aussi. « Pourquoi ? Tu ne nous aimes pas ? ».

La suite sera très brève.

Je reçois l’hommage des demoiselles. Très classique. Appuyé contre un mur, l’une me fait une fellation, l’autre me malaxe mes bourses et les lèche. De temps en temps, elles s’arrêtaient pour se masturber mutuellement.

Ce qui doit arriver arriva, j’éjacule, la fellatrice prend ma semence en main et fait lécher sa copine.

Raplapla, je récupère.

Commence un spectacle bizarre.

La serveuse se dirige vers le fond du loft, ouvre une porte dérobée : une pièce, avec au mur une tringle en métal, elle passe des menottes à sa copine, le buste vers le mur.

La serveuse me dit de l’attacher aussi.

On est des salopes et on le sait. Troisième tiroir à droite. Tu choisis. Une collection de fouets en tous genres.

Qu’est ce que je fais ? Ca va le cortex cérébral ?

Tu nous fouettes, on est des salopes (bis) et on doit être punies. D’habitude, c’est une autre copine qui nous le fait comprendre. Elle n’est pas disponible.

Comme j’étais doux, elles demandent d’accélérer.

J’ai cessé lorsque leurs belles fesses étaient toutes rouges et leurs dos « fort ligné » (J’avais utilisé une tawse pour les fesses et une cravache pour le dos).

Je les ai détachées, elles se sont couchées sur un immense lit, elles se sont embrassées en s’enlaçant les jambes.

« Qu’est ce que tu attends, minus ? »

Sa copine me donne un violent coup dans les couilles dont je me souviens encore.

Conclusion : le café est un endroit dangereux pas seulement au point de vue alcoolisme. J’ai changé de bistro.

Les érections 18379004Copie__3__de_Branson5

La durée moyenne avant éjaculation est de 2m30sec. Alors des chiffres de 20 à 30 minutes, c’est du surréalisme. Il existe bien sûr des gadgets qui permettent de retarder l’issue finale mais ….

Statistiques : France

11% de la population présente des troubles (Société française de sexologie clinique).

25 % des plus de 60 ans sont carrément impuissants (Pharmacia/Upjohn).

Fréquence des érections : il existe une période dite réfractaire (temps pour obtenir une nouvelle érection après une éjaculation). Plus on est jeune, plus elle est courte (1o minutes pour un jeune de 20 à 25 ans).

A noter que il peut y avoir des bonnes érections sans éjaculation, c’est l’éjaculation rétrograde, un dysfonctionnement de sphincter de la vessie (le sperme est renvoyé par l’arrière dans la vessie et expulsé avec l’urine).

Autre trouble : le priapisme

Le nom vient du dieu Priape, et fait allusion à son attribut le plus remarquable. Il aurait été puni pour avoir essayé de violer une déesse ; sa punition : d'énormes attributs de bois énormes mais inutiles bien sûr.

De tous les troubles de l'érection, le priapisme est certainement le plus particulier !

En effet, ce n'est pas une absence d'érection mais bien une érection qui se prolonge pendant plus d'une heure. J'entends des hommes dire « c'est fantastique ». Ce n'est malheureusement pas le cas.

Le pénis est donc toujours en érection une heure après même en l'absence de toute stimulation.

Le priapisme est douloureux : les corps caverneux restent gorgés de sang mais le gland est flasque.

Les causes sont encore mal connues.

Gestes à faire : tenter des douches froides, pose de la glace sur le pénis et les bourses. Si inefficace se rendre le plus vite possible à un service d'urgence.

Ischémie, thrombose dans les vaisseaux sanguins

Le risque d'impuissance définitive, de gangrène peut survenir. D'où obligation de castration ou d'ablation.

Rare : 1,5 sur 100.000.

Anecdotes : on cite des pendus qui entraient en érection et qui éjaculaient (afflux de sang vers les extrémités inférieures du corps). 

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