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Le blog d'un homme ordinaire
4 juillet 2007

34 Retour de l’infirmière qui en redemande beaucoup plus

Album vedette de la semaine :  Diaporamat-F744_1b 18BIS 5621128_p 5657695_p B4 f pipe h elle sodo h orgie l'empereur et les filles du salon orgie h sodo sur f lui sodo par h T-11TRIO t-sexparty23pen vag normale t-sexparty30pen vag norm t-sexparty31pen vag norm fellation T-TRIO1 t-4055_24 T-BISEX t-F744_1b t-gallery_19084_615_14742

Retour de l’infirmière qui en redemande beaucoup plus

Pendant deux semaines, je n'ai plus mis les pieds au salon. J'attendais la convocation à la gendarmerie.

Parlant de tous mes "malheurs" à Jacqueline (mon infirmière favorite), elle me dit subitement :"Je voudrais approfondir la séance de la dernière fois avec ta spécialiste de la dernière fois mais plus chez moi."

J'ai donc pris contact avec Katia qui m'a fixé un rendez-vous dans sa propriété. Elle m'a fait visiter cette belle maison de caractère.

Un rez-de-chaussée tout ce qu'il y a de plus classique. Deux chambres non contiguës à l'étage, très vaste on pourrait même parler d'une suite (on effet il y avait un coin salon en plus). Dans chacune une immense commode pleine de vêtements d'homme et de femme hétéroclites. Entre les deux chambres, un pseudo vide ; pourquoi pseudo ? Nous verrons par après.

"Et ton donjon ? Je descends à la cave ?".

"Idiot !".

Elle écarte les vêtements de la penderie, pose ses mains sur le mur (la penderie n'avait pas de fond). --Je me dis : ça va pas la tête --, Soudain deux battants s'ouvrent. Non ce n'est pas un film de James Bond.

Le vide c'était une salle bien équipée : portique équipé de palans et d'anneaux, croix de saint André, cheval d'arçon, etc… 10495229_m10495402_m10495441_m

Au mur bien alignés comme des outils de mécanicien, tous les instruments habituels : menottes, colliers, sangles, une collection extraordinaire de fouets en tout genre des single-tails aux cravaches en passant par des chats de toutes les sortes et de toutes les dimensions.

Elle avait même un knout qu'elle m'a avoué n'utiliser presque jamais et seulement à la demande expresse de la cliente sous obligation de signer une décharge. Ce knout était un authentique de l'époque tsarine qui lui avait été offert par un client russe fortuné lors de sa visite dans le salon VIP où elle exerce son métier d'escorte girl "normale".10495425_m

Dans une armoire vitrée, collection de godes, plugs, bâillons, bougies, et tout ce qu'il faut. Derrière un rideau une table d'examen gynéco.

Elle m'a proposé les contrats : le plus simple et le plus "doux" type 1, le plus hard type all-in très hard (nécessite deux jours avec une nuit passée dans une cage avec immobilisation complète. (Très cher : le prix d'une petite voiture.) Selon ses dires elle aurait eu 2 clientes cette année amenées par leurs maris quelles trompaient. Les maris voulaient bien pardonner à cette condition.

Le jour dit nous arrivons donc Jacqueline et moi pour un type 1.

Dans tous les contrats, la séance dure 9 heures repas et poses comprises. De plus, Katia travaille seule avec son esclave. Elle ne corrige que les femmes (pas les hommes).

J'ai donc du quitter les lieux.

La séance ayant commencé à 10h je reviens donc vers 19 heures.

Katia me fait entrer par une porte dérobée.

Et alors ? Elle a la mine déconfite.

« Quand on veut connaître, on collabore. Elle était tellement devenue grossière qu'en attendant ton arrivée, j'ai du la mettre dans une cage carcan et un ballon. Attends dix minutes, je vais la libérer. » 11066170_m

Je les entendais descendre et Jacqueline vociférant toutes les insultes possibles auxquelles le capitaine Haddock n'aurait même pas pensé.         

J'entre dans le salon.

Jacqueline a le visage très crispé et fulgurant.

Katia : "je vous sers un petit whisky ?" Moi, volontiers. Jacqueline :"Malade tu peux garder ton whisky, je préfère mourir de soif dans le désert que d'accepter une boisson d'une tarée".

Je dis : Jacqueline que je t'avais prévenu que c'était plus poussé que la séance chez toi. Elle se calme et accepte les QUATRE whiskies proposés.

Qu'est ce qui s'est passé ?

"Si c'est ça ton BDSM tu peux le garder. Cette salope prétentieuse m'a fait subir les pires sévices.

Une infirmière en gynéco qui doit se mettre sur une table d'examen du même nom. Les poignets menottés au-dessus de la tête. Les chevilles entravées par des menottes extrêmement serrées, elle m'a enfoncé un gode-martinet dans le vagin. 10495581_mPendant ce temps elle riait et m'insultait de tous les noms et insultait même ma profession.

Quand elle m'a détachée, j'ai du me mettre debout tout en gardant le gode-martinet. Elle a à nouveau entravé mes chevilles, m'a mis un collier de chien, j'ai du me mettre à quatre pattes, elle m'a enfoncé violemment le plus grand plug anal qu'elle avait, pour ramper jusqu'à ses bottes. Pendant ce temps elle me tenait en laisse.i du lécher ses cuissardes. Après cinq coups de cravache sur le dos, elle m'a libéré. J'étais effondré. Elle m'a conduite dans la chambre normale tout en ne manquant pas de mettre sa main à mon pubis et l'anus en ironisant : "c'est dur mais je sens que tu mouilles cependant bien et ton cul est intact".

Je récupérais. Vint le moment du repas de midi. Nue mais libre, je me dirige vers la cuisine. Une table, une chaise. Elle s'assied. Et moi ? Toi c'est là. Elle me montre une mangeoire pour chien. Mets-toi en levrette.  Sans_titreSi tu ne te rebelles pas, je ne t'attache pas. Tu restes dans la position jusqu’à mon ordre.

« C'est fini ? ». « Pas tout a fait. On va visiter la maison. » Elle était devenue "aimable".

Voilà en attendant qu'on vienne te chercher, je vais te poser quelques bijoux.

Avec une certaine délicatesse elle m'a mis des pinces aux seins reliées par une chaînette. Voyant mon pubis touffu elle m'a proposé de le raser car d'après elle, les bijoux qu'elle allait pincer sur les grandes lèvres ne seraient pas mis en valeur dans un jardin sauvage. Soit les poils ça repousse.

Alors que j’étais toujours nue elle a pris des photos sur toutes les coutures et j'au du me mettre dans toutes sortes de positions. 10495170_m10495206_mSans_titre2

Soudain elle me dit : «  j'ai oublié quelque chose ». Elle retire les pinces des mamelons. « Couche-toi sur cette table » : elle m'attache à nouveau les chevilles, jambes écartées sur la table et les bras écartés aussi.  Elle attache des pinces aux seins et avec une manivelle commence  à tirer sur les chaînes ancrées par un anneau au mur.

J'ai cru qu'elle allait arracher mes seins.  Maintenant debout attachée au mur une autre forme d'étirement : des grosses pinces qui tiraient le haut des seins.

« Voilà c'est fini. » Je lui flanque une gifle. Elle appelle son valet (sic) un type beau ultra-musclé, elle m'enferme dans la cage-carcan et me bâillonne.

Jacqueline s’adressant à moi : « Sale type. Si tu as le courage, je te fais subir le même sort mais moi j'exige d'être présente. » (Ce fût fait à lire plus tard).

Un peu bouleversé, je rentre chez moi.

Anne me met sous le nez une première lettre : M. et Mme convocation à la gendarmerie. « C'est quoi ? » Concernant un témoignage sur un accident de roulage. « Et pourquoi M. et Mme » Je n'en sais rien.

Une autre adressée à madame : « votre mari va chez les putes. Signé Isa ».

Moi, je n’oserais jamais fréquenter ces milieux là. « C'est qui Isa ? » Une technicienne du labo avec qui j'ai couché avant de te connaître. (Oh doux mensonge).

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