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Le blog d'un homme ordinaire
14 mai 2007

33 Se méfier des petites voitures conduites par 2 gars en jeans dévalés

Se méfier des petites voitures conduites par 2 gars en jeans dévalés

Etant un (très) bon client, le staff de la maison m'avait invité à fêter mon anniversaire un après-midi. A ma grande surprise Zéda  était revenue lassée par l'autoritarisme de la  maison  où elle avait travaillé  entre-temps. Elle avait été réintégrée car comme je l'ai dit dans un précédent numéro,  les locomotives on aime.

Je m'intéresse aussi aux trains anciens et il n'y a pas si longtemps  le train restait en gare si la locomotive n'était pas là. (Il y a maintenant des autorails et des automotrices qui se suffisent à eux-mêmes.

J'avais apporté des gâteaux, elles m'offraient le café (alors que ma boisson favorite est  la bière trappiste).

Ambiance sympa. , très familiale interrompue de temps en temps par un client (business is business). La fille choisie descendait assez vire !

J'ai passé une agréable après-midi, d'autant plus que ne "montant", Zéda reprenait ses habitudes : elle ne se gênait pas de passer une main dans mon pantalon pour me masser les couilles ceci devant les autres au grand dam de celles-ci.

Je n'ai d'ailleurs pas pu résister à faire une "petite" séance d'une demi-heure avec elle avant de partir. Elle était ma favorite vous l'avez compris.

Elle qui était plutôt du genre à ne pas se faire pénétrer, a accepté de bon gré la pénétration de mon outil dans son vagin (avac capote, elle qui était la reine du placement de la dite pièce).

Je prends congé. J'entre dans ma voiture. Après un certain temps, je constate que manifestement une voiture me suit. Je m'arrête devant un feu rouge. Je redémarre tout en regardant dans mon rétroviseur si la voiture me suit. Je vois le conducteur placer un gyrophare sur le toit. Je continue mais après un certain temps le gyrophare s'éclaire et j'entends un bref mais impératif coup de sirène. Je m'arrête. Deux gars en jeans délavés sortent de la petite voiture banalisée.

Un salut sans équivoque. Ils me présentent une carte de la grandeur d'une carte de crédit. GENDARMERIE. (A l'époque en Belgique elle existait encore, maintenant c'est devenu la police fédérale).

D'où venez-vous ? Vous me suivez depuis que je suis sorti du salon de massage.  Vous le savez donc.  Qu'est ce qu'on masse ? Moi, je me fais masser la cuisse gauche qui a un problème veineux. Vous savez, il y a ses salons où ça vous coûterait moins cher pour soigner votre jambe.  Oui mais les masseuses sont certainement moins agréables.

Je n'ai pas regretté de n'avoir bu que du café.

On va aller voir et vous serez convoquer à la gendarmerie pour votre déposition car vous n'êtes pas coopératif.

Par après, j'ai appris que tous les clients du salon avaient étés suivis du matin au soir. En fait il s'agissait de la brigade financière : elle s'intéressait moins à la prostitution qui n'est pas illégale en Belgique qu'aux gains non déclarés du salon et aux trafics divers (tabac, alcool, lingerie fine, etc..).

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