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Le blog d'un homme ordinaire
18 décembre 2009

0059 Le café de campagne Masturbation au boulot

068

Le café de campagne

J’ai déménagé. J'habite maintenant à la campagne près de Bruxelles.

La mentalité est très différente de celle de la ville : les gens s'épient, etc...Le moindre geste dans un sens comme dans l'autre et tout le village est au courant. Trois bistrots avec chacun sa clientèle spécifique.

Le n°1 clientèle d'ouvriers, assez vulgaire, le n°2 genre taverne, bar, dancing et jeux de darts (fléchettes), clientèle très interlope. Majorité d'hommes sauf lors des soirées dansantes, tenu par une patronne mignonne (32 ans), petite, à faire pâlir (même habillée).

N° 3 clientèle d'immigrés de toute nationalité. Dans les n° 1 et 2 beaucoup de couples homosexuels (Rappelons qu'en Belgique les homos peuvent se marier).

La patronne : une sainte Nitouche ?

Après 5 mois de séjour, je faisais « partie des meubles » du n°2. Parfois vers 22h00, tous les clients partis, je restais discuter avec elle. Elle avait un mec, une sorte de simplet qui n'habitait pas la taverne qui était également le logement de la patronne. Pas d'autres locataires. Très curieuse, elle me posait des tas de questions. Je dois dire que son physique faisait monter ma libido et pas que ma libido !!!

Un soir je m'amène : pas de clients. « Je peux entrer ? ». Bien sûr. Au bout de 10 minutes, elle ferme les volets. Elle sort une bouteille de vin : « si on buvait, j'ai aujourd'hui 32 ans et je voudrais quelque chose de spécial ( ?).

Son habillement : vêtements légers, jupe légère descendant en dessous du genou, tong pieds nus.

Après une bouteille elle en sort une autre ! Elle s'en va et puis revient. Subitement, elle me prend l'épaule puis elle me dit « regarde ». Quoi ? Elle soulève sa jupe. Quel spectacle ! Un pubis rasé, rasé. « Qu'est ce que tu attends ? ».

J'introduis deux doigts dans son vagin fort lubrifié par les glandes de Bartholin et avec ce liquide frotte son clitoris d'une taille très grande. Pendant que je continue, elle dégrafe mon pantalon et commence à lécher mon pénis en érection déjà maximale tout ceci avec un art rare. Je prends sa tête et lui demande de sucer en gorge profonde. On ne me croira pas mais cela a duré 15 minutes avant d'éjaculer. Tout ceci sur une banquette en bois. Le simplet pouvait rentrer au garage.

Le lendemain

Elle m'accueille avec un certain sourire comme dirait Françoise Sagan. Une vingtaine de clients. Le simplet regardant la patronne servir toute seule ceux-ci. Elle me glisse : « après la fermeture, tu viens, les volets seront fermés, tu sonnes 3 fois.

Elle ouvre, rechoc. Son seul habit, une djellaba blanche et ultra transparente. Pourtant elle n'était pas Arabe. Spectacle d'un érotisme exacerbé.

La veille à part le pubis, je n'avais rien vu. Son visage très expressif . Des seins de taille moyenne, un ventre plat, des petites fesses qui me semblaient fermes.

On monte au premier. « Une remarque préliminaire ; Je ne suis pas une pute. Je ne demande pas d'argent. J'aime bien jouir, à toi de jouer. Aujourd'hui, pas de pénétration vaginale ou anale. On verra plus tard, quand tu m'auras fait jouir sans pénétration !

Tu peux cependant me faire un cunni si tu veux.

Je descends de la tête aux pieds.

Elle est debout nue dans toute sa splendeur, nos deux corps l'un contre l'autre, je lui masse la nuque et les épaules, lui lèche les oreilles, introduit ma langue fourchue dans celle-ci, elle reçoit un baiser appuyé en tournant ma langue dans sa bouche.

Elle se couche sur le dos dans le lit. Je lui lèche les mamelons et les pince légèrement avec mes dents.

Je descends petit à petit vers les pieds en « oubliant » le sexe. Je lui masse les pieds et lèche son gros orteil.

Elle est maintenant sur le ventre. Je suis à califourchon sur elle mon pénis érigé et mes bourses reposant sur son dos. Je lui masse les vertèbres une à une. M'attarde de nouveau sur la nuque et le cou.

Soudain, elle se met en position de levrette, écarte ses cuisses et me dis « maintenant le cunni ». Je me glisse sous elle et commence.
Ses petites lèvres étaient déjà gonflées ce qui signifie que son plaisir était déjà là.

Mes lèvres se mettent en route, embrassent, mordillent, sucent. Ma langue lèche le clito humide au possible, j'aspire celui-ci. Torride. Elle a fini par pousser un cri orgasmique puissant qui a bien entendu eu pour effet de me faire éjaculer.

«  Demain, je te masturbe et te fais une fellation. Puis on verra...... »

Masturbation au boulot

Une étude danoise a récemment conduit à ce constat: près de 60% des travailleurs avouent s'être déjà masturbé au travail

Voilà une nouvelle qui va en étonner plus d'un. Ou pas... Un récent sondage mené par le quotidien danois "Ekstra Bladet", et pour lequel des milliers de lecteurs furent interrogés, révèle cette information surprenante: six hommes sur dix se seraient déjà laissé aller aux joies du plaisir solitaire sur leur lieu de travail. Plus fort encore: 20% de ces messieurs confient s'adonner régulièrement à la masturbation au bureau. Les toilettes sont généralement choisies comme théâtre de ces pratiques, bien que des alternatives soient envisageables.

On entend déjà d'ici les dames crier au scandale et conspuer la gent masculine « égale à elle-même ». Mais que ces demoiselles se rassurent, elles ne sont pas en reste. 54% des femmes déclare s'être déjà offert un petit orgasme furtif sur le compte de leur employeur.

Une précédente étude orchestrée en Suède avait donné des résultats similaires prouvant qu'un lecteur de l'"Expressen" sur deux avait expérimenté la chose. Enfin, les Anglais caracolent en tête de cet étonnant classement. Les "masturbateurs du boulot" y culminent à 64% (44% chez les dames).

Et vous?

Source : www.dhnet.be

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