37 fermeture du salon de Zéda
Descente de police au salon de Zéda
Un coup de téléphone : "Paul, ils sont là." Qui ? "Mes flics. Ils sont entrés par la force avec une ordonnance du maire. Plainte des voisins petits bourgeois, trouble de l'ordre public, etc.
Toutes les filles, même celles "au travail" ont été réunies dans le grand salon. Les unes habillées, les autres dans leurs "vêtements de travail" (sic). Interrogatoires dignes de
la Gestapo. Les
Je me trouve avec les scellés sur la porte, je n'ai plus de "maison" ni de personnel.
Je ne vais quand même pas refaire la pute la pute de basse classe.
Pour corser le tout, Anne m'annonce qu'elle a chargé un avocat de demander la séparation à mes torts.
Je me trouve sans toit. Que faire ?
Je vous le donne en mille : par dérogation, j'ai logé pendant 6 mois à la 3Maison des infirmières" de mon hôpital. C'est un internat pour les élèves étrangères ou provinciales. Quelques chambres sont réservées à des chercheurs stagiaires étrangers.
Quel délice de fraîcheur ! Entouré de jeunes filles de 18-20 ans, encore pleines d'enthousiasme et d'illusion, de fantasmes.
(A suivre : la vie du "vieil étudiant" à la Maison