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Le blog d'un homme ordinaire
8 octobre 2007

37 fermeture du salon de Zéda

Descente de police au salon de Zéda

Un coup de téléphone : "Paul, ils sont là." Qui ? "Mes flics. Ils sont entrés par la force avec une ordonnance du maire. Plainte des voisins petits bourgeois, trouble de l'ordre public, etc.

Toutes les filles, même celles "au travail" ont été réunies dans le grand salon. Les unes habillées, les autres dans leurs "vêtements de travail" (sic). Interrogatoires dignes de

la Gestapo. Les

Polonaises en situation illégale immédiatement embarquées pour être reconduites à la frontière, Les "légales" devant se présenter à la gendarmerie pour signer une déposition suivant laquelle elles travaillent librement et sans contraintes.

Je me trouve avec les scellés sur la porte, je n'ai plus de "maison" ni de personnel.

Je ne vais quand même pas refaire la pute la pute de basse classe.

Pour corser le tout, Anne m'annonce qu'elle a chargé un avocat de demander la séparation à mes torts.

Je me trouve sans toit.  Que faire ?

Je vous le donne en mille : par dérogation, j'ai logé pendant 6 mois à la 3Maison des infirmières" de mon hôpital. C'est un internat pour les élèves étrangères ou provinciales. Quelques chambres sont réservées à des chercheurs stagiaires étrangers.

Quel délice de fraîcheur ! Entouré de jeunes filles de 18-20 ans, encore pleines d'enthousiasme et d'illusion, de fantasmes.

(A suivre : la vie du "vieil étudiant" à

la Maison

des infirmières et les chaudes nuits.)

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