29 Zéda implore, Isa chante, Maria ce n’est pas ça

Zéda implore, Isa chante, Maria ce n’est pas ça

La suite ?

Pendant mon travail au laboratoire, je reçois un coup de fil ; c'est Zéda, elle voudrait me parler en dehors du salon.

Je lui donne un rendez-vous dans un hôtel-restaurant-taverne près du salon.

Elle commence à me raconter ravie : le Maroc, ses enfants, son mari alcoolique, sa fuite via l'Espagne pour arriver en Belgique.

Ici elle rencontre un gentil garçon marocain (2 nouveaux enfants) qui avait malheureusement quelques problèmes avec la justice (sic !).

Son seul boulot possible où on gagne beaucoup en peu de temps c'est celui-ci car pas de diplôme.

Elle m'implore de lui prêter (re-sic) l'argent pour l'amende de

la Maison. Elle

fera tout pour moi (des pipes sans capote, elle acceptera même une pénétration anale réservée dans son esprit à sin futur mari.

A ce moment-là mon portable sonne. Une urgence ? Non. C'est Isa.

"Je te vois avec cette sale pute m., tu n'as pas honte. En plus tu t’exhibes à la fenêtre de la taverne. Je t'ai suivi. C'est touchant : ta bagnole suivie par la sienne que tu lui as certainement payé (à moi tu m'en as pas payé, je peux pauvre postière crever dans les transports en commun. Les bordels ne te suffisent plus, tu dois aller à l'hôtel maintenant, etc.

Dernier avertissement et puis je raconte tout à ta femme. Tu repends avec moi, je ne demande pas s autant que ta pute seulement 125 euros et un dîner gastronomique par semaine et tu as la paix si tu ne bas plus au salon."

En quittant Zéda, je lui ai dit que j'allais réfléchir à sa question financière en lui précisant que je paie pour jouir mais pas pour les gaffes du salon.

Ma "séance avec Maria".

Effectivement timide (22 ans), débutante, maladroite. J'ai dû faire le professeur de massages spéciaux. Manifestement elle avait lu les techniques dans une encyclopédie.

Elle se couche sur moi, osant  à peine une masturbation, très stricte sur le règlement : je lui ai demandé une pipe sans capote, refusé même avec le double du prix.

C'est tout juste si elle a accepté une pénétration du style Andromaque, j'ai dû lui expliquer que c'était elle qui dirigeait le mouvement.

D'habitude, après l'éjaculation, je discute avec la fille pendant le temps restant. J'ai vite pris ma douche et l'ai remercié.

Au bas de l'escalier

la Patronne

très curieuse m'attendait : "ça a été Paul ?", comme on dit en bruxellois. Extra.

Elle me reconduit à la sortie, elle me parle à l'oreille ("menteur"), passe sa langue sur mon lobe (je m'y voyais déjà). Interloqué, je lui dis : je croyais que …

Réponse ; "on verra plus tard…".

Lors de ma visite suivante, plus de Maria, elle avait compris que sa place était ailleurs.