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Le blog d'un homme ordinaire
16 janvier 2007

26 Madeleine, l'aristocrate du salon de massage

Madeleine, l'aristocrate du salon de massage

Récapitulatif : Zéda, la première fois (spécialiste du lavage des couilles et de l'enfilage des capotes), Malika et sa faveur, Inès et sa fougue.

Cette fois, je me dis pourquoi pas Madeleine ?

Comme je les avais toutes vues dans les salons d'accueil, elle me troublait par son silence : alors que toutes parlaient, parlaient, elle disait une phrase de temps en temps.

Un dimanche matin, ne sachant que faire et bien entendu en manque de sexe (ne pas oublier que je vis toujours avec une sorte de nonne qui ne se masturbe même plus, je me rends au salon : seule Madeleine était là.

Elle place un panneau retour dans cinq minutes (sic).

"Et s'il y a des clients ?"Madeleine

"Rien ne change, s'il y a un obsédé qui vient, ou bien il revient ou il va ailleurs". (Un 2e salon très VIP se trouvait à 300 mètres).

"On ne lâche pas la proie pour l'ombre ; de toutes façons le dimanche, je te mets au courant, c'est généralement sur rendez-vous." "Pourquoi ?".

"C'est réservé en principe à des pratiques différentes auxquelles j'espère que tu participeras au jour".

J'ai participé, j'en parlerai plus tard, c'est très très différent mais extraordinaire, se pratique bien sûr en groupe.

Elle m'offre ma boisson favorite, on ne discute pas le prix "officiel" puisque le tarif est toujours le même pour toutes.

Madeleine est une sorte de fille "aristocrate" utilisant des termes très distingués.

Elle me raconte sa vie en précisant que le compteur n'est pas enclenché (l'heure et demie).

C'est malheureusement un grand classique : "je me prostitue pour mon fils que j'élève seul. J'ai dû m'enfuir de la maison, mon ex est alcoolique, dans ses crises non seulement il était odieux, il me battait avec des ceintures devant mon fils, m'obligeait à (..censure…). Comme il était ma seule source de revenus, j'ai choisi de me prostituer. C'est une solution facile, rapide mais aléatoire pour gagner beaucoup en peu de temps. Une convention passée avec la patronne me réserve le droit de refuser les clients qui ne me plaisent pas".

On monte. Un corps fascinant, longues jambes fines, tout en proportion, poils pubiens taillés comme un jardin à la française, seins bien constitués, ni trop petits ni trop gros.

Encore plus curieuse que les autres : "Je voudrais que tu essayes de me faire croire à nouveau dans les hommes. Tu  as payé, tu fais ce que tu veux. Je voudrais que tu me fasses l'amour comme un homme qui ne voit pas en moi une pute". Encore une situation inversée !!!

Devant une telle créature, avec de tels termes, on fait tous les efforts possibles pour exaucer son désir. Quand je suis sorti bouleversé, l'heure et demi s'était transformée en 2 1/2 heures, le supplément a été offert.

"Merci, merci Paul tu m'as rendu l'espoir."

J'ai bu x verres de bière avant de rentrer chez Anne comme un drogué dans un état second. Ceci se passait en 1998 aussi.

Anne : "Tu ne vas pas bien ?". Ecoute, j'ai été appelé d'urgence au labo, tu comprends ? "Tu en fais vraiment trop"……………….

A suivre : Zéda passe à l'attaque.

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