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Le blog d'un homme ordinaire
15 juillet 2010

0083

Mélissa est de retour

Elle a beau dire « ne fréquente plus les autres femmes du village » et elle ?

Elle est de plus en plus planche à repasser. Chemisier noir collant littéralement à sa peau. Ses petits seins, une sorte de Bermuda rose jusqu'au dessus (10cm) des genoux.

Quand je suis arrivé, elle était déjà attablée avec trois hommes. Un très connu dragueur invétéré, un petit jeune qui cherche sa voie, un très bon boulanger homosexuel.

Elle est vite sortie avec le jeune. Elle a déménagé à

10 mètres

du café.

Une heure après elle revient. Boit un petit whisky, c'est fini le coca !

Elle part à nouveau avec le dragueur invétéré très robuste et musclé. Cette fois-ci deux heures !

Puis retour autre whisky. Elle part avec l'homo et est de retour dans le quart d'heure.

Et alors ? « Je t'expliquerai demain ».

J'attends avec impatience .............................

P.B.

Les positions « Rock and Roll »

Certaines positions sexuelles demandent au choix une vraie souplesse, de la coordination, de l'endurance ou un poids mini de votre partenaire. Mais quoi de mieux pour redynamiser son couple. ?
Laissez parler l'animal en vous...


La position du cerf en rut par exemple consiste à soulever votre partenaire devant vous et la prendre par les fesses. Ainsi suspendue en l'air, elle est totalement à votre merci. On vous conseille cette position avec une demoiselle possédant plutôt un petit gabarit ou être sportif.

Pour les gymnastes aguerris, laissez-vous tenter par la position du « petit pont ».

L'homme est en position de pont, porté par ses bras et ses jambes ; elle, dos à lui, chevauchant son étalon. On vous met au défi de tenir la position plus de 5 minutes... Parce qu'entre les poignets qui se raidissent, le sang qui monte à la tête et le début de lumbago, cette position relève de la prouesse sportive !


Et pour les plus aventureux, le 69 debout reste sans doute l'une des positions les plus difficiles à tenir. Mais à tester.

Source : www.masculin.com

Exit le string sexy pendant les règles

Étude sur les femmes belges

Si ELLE est en pantalon foncé et large, a troqué son string sexy contre sa grande culotte bleu marine Petit Bateau et va se coucher avec les poules pour le moment, c'est que les " Rouges " sont sûrement là !

C'est une étude menée à la demande des tampons Tampax qui dresse le portrait de la femme belge pendant ses règles. Si certains clichés sont confirmés, comme l'hyper-susceptibilité pendant cette période du mois (n'est-ce pas, Messieurs ?), d'autres comportements sont plus étonnants: les 18-25 ans, par exemple, s'offrent du lèche-vitrines, un sauna ou un bon bain chaud pour passer le cap. Autrement dit, elles se font plaisir pendant que les autres tirent plutôt la tronche... Autre leçon que nous apprend ce sondage mené auprès de 1.000 femmes : une grosse différence de vécu menstruel entre le Nord et le Sud de

la Belgique.

Accro au choco et au lavabo

Pendant que les Flamandes se ruent sur le chocolat, les Wallonnes, elles, n'arrêtent pas de... se laver! Les francophones renoncent à faire l'amour, contrairement aux Flamandes qui acceptent mais en fin de règles. Au total, à peine une femme sur six accepte d'avoir des rapports sexuels pendant " l'occupation des Russes " ou " le débarquement des Anglais ", comme disaient les générations plus âgées.

À noter que plus les femmes vieillissent, mieux elles apprennent à vivre " avec ": ainsi, les moins jeunes font fi de leurs règles pour choisir leur lingerie. De manière générale, un tiers des femmes préfère des dessous sombres à ce moment-là du mois - sans doute par crainte de fuites - et 10 % se privent de porter une jupe.

Source : www.dhnet.be

Les tatouages, c'est tendance

Les chaînes: totalement in.

Les piercings et tatouages ne sont plus réservés à une élite, ils sont désormais à la portée de tous. Ils peuvent même faire l'objet d'un achat impulsif. Petit tour d'horizon des tendances avec Ritual Piercing & Tattoo à Bruxelles. Car les dauphins chinois, c'est out !

" Avant, les gens osaient moins et les motifs étaient plus tribaux. Il n'était pas rare de réfléchir 2 ou 3 ans avant de se faire tatouer. Aujourd'hui, on peut voir le tattoo d'un artiste dans un clip et se faire le même dans la semaine! ".

Les étoiles façon Rihanna.

" Depuis quelque temps, les jeunes veulent le même tatouage que les chanteurs qu'ils ont vus dans des clips de R'nR ou de hip-hop ". Ainsi, après le bas du dos tribal d'Anastacia et le polynésien de Robbie Williams - à nouveau tendance grâce à son nouvel album - les pluies d'étoiles comme Rihanna en a dans la nuque sont fort demandées. " On en tatoue encore 1 ou 2 chaque jour ".

Les chaînettes et les croix.

Loin du tour de bras façon rocker, la chaînette qui passe 2 ou 3 fois autour de la cheville, c'est ce qu'on appelle dans le milieu le tatouage " bling bling ", le préféré des jeunes filles entre 18 et 22 ans. " Elles viennent entre copines et sont influencées par les marques de vêtements ou de cosmétiques. On en fait au moins 3 ou 4 par semaine. " Compter entre 80 et 140 €.

Les brillants sous la peau.

Dans la même veine, il y a les implants légers, souvent destinés à sublimer un tatouage existant. C'est la prochaine grande tendance. " On incruste sous la peau un brillant qui vient éclairer une étoile. Le tatto devient un bijou comme les autres. " Environ 80 €, pierre comprise.

Le " lettrage " parental.

" Ce qu'on voit de plus en plus, ce sont de jeunes parents qui veulent se faire tatouer le prénom de leur enfant. Comme on ne change pas d'enfants comme de conjoint donc ils sont sûrs de ne jamais le regretter! " Le prix ne dépend pas de la taille, mais de la finition du " lettrage ".

Les piercings génitaux.

Les piercings génitaux sont bien moins rares qu'on l'imagine. " Avant, on n'en faisait qu'un tous les deux mois. Aujourd'hui, c'est 2 à 4 par semaine. La population est plus mûre que pour les autres tatouages. " Et les clients ne sont pas des « hardeurs » comme on pourrait le croire, mais M. et Mme Tout-le-Monde qui veulent simplement donner un coup de fouet à leur libido.

Le " stretching " modéré.

Moins courant mais plus voyant, le stretching qui consiste à faire un petit trou dans le lobe de l'oreille ou la lèvre inférieure, par exemple, à l'élargir progressivement et à y placer un bijou. " C'est apparu il y a un an. On s'est dit que ça n'allait pas marcher, mais on a eu tort car il y a des adeptes pour le stretching modéré. " Il faut dire que, si le trou ne dépasse pas

1 centimètre

de diamètre (une cigarette), il se referme de lui-même quelque temps après qu'on a ôté le bijou.

www.lacapitale.be

Adresses à Bruxelles : http://maps.google.be/maps?hl=fr&rlz=1T4GZAZ_frBE348BE348&um=1&ie=UTF-8&q=tatouage+bruxelles&fb=1&gl=be&hq=tatouage&hnear=bruxelles&view=text&ei=XRfxS-iZF4bz-QbL-KDNCQ&sa=X&oi=local_group&ct=more-results&resnum=1&ved=0CCwQtwMwAA

Libertinage et libertins

De Montaigne à Sade en passant par Dom Juan, le libertinage a une histoire qui remonte au XVIe siècle. Mais qui sont aujourd'hui les libertins ? Quelles sont leurs pratiques ? Découvrez sans tabou toutes les réponses à vos questions.

Histoire du libertinage 

Le libertin n'est pas seulement cet aristocrate désœuvré et décadent qu'on a pris l'habitude d'imaginer. Le libertinage est d'abord un courant de pensée radicale qui a traversé toute l'Europe, de

la Renaissance

à

la Révolution

française.

A l'origine des Lumières, de la pensée affranchie de tout dogme, le libertinage a contribué à façonner notre société. De Montaigne à Sade en passant par Cyrano de Bergerac ou Dom Juan, découvrez l'histoire d'une liberté de penser pas comme les autres.

S'affranchir de tout dogme 

Désigner ceux qui s'affranchissent des règles sociales par un surnom méprisant a d'abord été l'apanage de leurs ennemis. Les « libertins », ce sont d'abord, dans la société genevoise stricte mise en place par Jean Calvin au XVIe siècle, ceux qui ne se retrouvent pas dans les règles de vie protestante imposées dans la ville suisse. Les premiers libres-penseurs, que Calvin appelle « libertins » en référence au latin « libertinus », les esclaves affranchis de

la Rome

antique.

La Renaissance

voit alors se multiplier penseurs et humanistes qui réagissent contre le poids que la religion catholique impose sur l'Europe depuis le Moyen-âge. Tel Montaigne, qui invente le concept de scepticisme à l'égard de tout dogme dans ses Essais ou Giordano Bruno, un ancien moine italien devenu philosophe qui finit sur le bûcher, en 1600, pour avoir clamé que l'univers est infini.

Faris Sanhaji

www.doctissimo.com

A suivre : Les grandes pratiques libertines 

La falaqa

C'est un terme persan.

Châtiment corporel peu connu du grand public.

Il consiste à battre la plante des pieds avec les objets divers : canne, baguette, chicotte et fouets divers. C'est une torture sournoise car elle laisse peu de traces et est très douloureuse. En effet il y a de nombreuses terminaisons nerveuses dans les pieds.

Les pieds sont liés et les jambes situées de tel façon que la plante des pieds soit accessible.

Cette torture a été utilisée par de nombreuses civilisations et notamment dans les guerres récentes du Moyen-Orient.

Bien entendu les pratiquants du BDSM l'on récupéré. 

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