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Le blog d'un homme ordinaire
29 avril 2007

31 Zéda disparaît du salon, l'infirmière et son initiation à la domination par une spécialiste.

Zéda disparaît du salon, l'infirmière et son initiation à la domination par une spécialiste.8980229_m8980230_m8980231_m 

Zéda ayant disparu mystérieusement du salon, j'avais décidé de faire "une pause". ………………..Une infirmière que je connaissais depuis un certain temps m'entendant souvent parler de BDSM me demanda un jour si je ne voulais pas l'initier à des pratiques spéciales.

Ceux qui croient que les jeunes infirmières ont tout vécu, tout vu, couchent avec tous les médecins se trompent fortement.

Oui mais pas chez moi. Pas d'importance : elle vivait seule. Donc rendez-vous pris, elle met deux couverts à table.

Je lui dis que nous allons pimenter le repas. Je lui demande de se mettre à poil. Disons ceci n'est pas très difficile pour une infirmière. Souvent, sous leur blouse, elles le sont (avec un slip cependant) par mesure d'aisance dans le travail. Je lui dis que j'attends quelqu'un ??!!

Tu m'as dit de t'initier mais je ne peux le faire seul. (L'amie était en fait une call-girl que j'avais fréquenté dans le salon VIP dont j'ai parlé précédemment.)

Moment de surprise. Inquiète, mais une excitation accrue (il y a des signes qui ne trompent pas ; elle commençait déjà à mouiller son pubis poilu). Je lui ai passé des bracelets métalliques et des menottes aux chevilles et les ai fixés aux pieds de sa chaise.

Son clito déjà érigé (il était très gros) je n'ai pu résister à le pincer légèrement malgré que le but du "repas" ne soit pas celui-là.

Elle était enchaînée mais plus ou moins libre de ses mains. Entre-temps, je lui avais délicatement mis un plug anal.

La sonnette retentit, je vais ouvrir. Elle m'a dit après qu'elle avait tenté de trouver une contenance digne, ce qui était assez difficile faut-il le dire dans la situation où elle se trouvait. Elle fut surprise de voir une femme (elle s'attendait plutôt à un homme).

Voici Katia. Elle se dirigea immédiatement vers Jacqueline l'embrassant légèrement tout en mettant un doigt au bon endroit ; il était à point d'après Katia. Elle me demanda si j'avais prévenu Jacqueline qu'il lui était interdit de jouir seule, et que  quoiqu’il se passe, elle ne devrait jouir que sur son autorisation expresse ! Elle répondit "oui" mais elle sentait pourtant que ce lui serait difficile de tenir très longtemps (l'ayant testée je savais que c'était impossible). On mangea cependant plus ou moins normalement. En tant que soumise, elle dut naturellement faire le service (elle avait été déchaînée pour la circonstance). Chaque fois qu'elle s'asseyait sur sa chaise un flot coulait sur celle-ci, le plug n'arrangeant rien. Ses seins qui étaient magnifiques étaient gonflés au maximum, les mamelons pointés. Elle eut cependant un regard de détresse vers moi pour abréger déjà mais en bonne infirmière elle finit par accepter la suite.
Le repas fini, on revint à l'enchaînement du début. Mais ça ne plaisait pas à Katia qui me fit comprendre que c'était elle le chef ! Soit. Elle entreprit d’immobiliser Jacqueline, bras et jambes en croix, à chaque pied de table.

Katia s’approcha de Jacqueline. Sa bouche pulpeuse frôla la sienne, pour descendre lentement vers ses seins. La langue enduite de confiture aux fraises descendait maintenant jusqu’au nombril, remontant lentement, jusqu'aux mamelons pour ensuite les mordiller. Jacqueline avait difficile de se contenir de jouir. Katia me dit : c'est à toi maintenant entre collègues. J'avais à peine commencé qu'elle poussa un cri d'orgasme terrible.

Mais Jacqueline fut ramenée à la réalité par la bouche de Katia, qui de caressante, devenait "barbare". Elle plaça des pinces et les dents  refermées sur la pointe de son mamelon, lui arrachaient aussitôt un hurlement de douleur.

Pourquoi ? Elle avait désobéit. Elle avait joui sans autorisation. Se tournant vers moi elle me demanda de sortir les instruments pour les soumises récalcitrantes. J'allais donc chercher le martinet (en plus ironie du sort c'était celui que Zéda avait acheté avant de quitter le salon de massage (il était entamé, tellement elle avait transgressé les règles internes voir numéros précédents). Katia me demanda si je voulais commencer ou bien que lui donne la priorité ? Elle commença donc. Pendant que je la corrige elle doit te faire une fellation ce qui m'évitera de mettre un bâillon pour l'empêcher de crier.

Sa punition : 10 coups sur chaque cuisse, puis deux sur ta chatte baveuse. "Tu verras, qu’après cela, ton clito te cuira tellement que tu réfléchiras à deux fois avant de le laisser gouverner ton corps ! ".

Au 10e, ses cuisses étaient très rouges et ses plaintes ne discontinuaient plus. Par contre, la douleur du début se muait progressivement en une boule de feu qui lui dévorait maintenant les entrailles. A la fin des 20 coups, les larmes ravageaient son visage, et les plaintes ne discontinuaient plus. Katia s’arrêta, s’approcha d’elle et lui caressant la joue demanda :
« Pas mal pour une première fois, on voit que tu es une vraie infirmière pas comme les cons qui jouent aux jeux médicaux… Tu as de la tenue ! Souhaites-tu arrêter, ou est-ce que je continue jusqu’au bout ? »

Jacqueline indiqua qu’elle irait jusqu’au bout… Certes, la douleur était là, mais au-delà, elle sentait poindre quelque chose qu’elle ne connaissait pas. Katia baisa délicatement un sein, puis reprit la position pour infliger les deux dernières, mais plus terribles flagellations.
Il n'était maintenant plus question que Jacqueline me fasse des pipes.

Avec une précision diabolique, les lanières s’abattirent sur son sexe lui arrachant un hurlement. Au deuxième, le corps se tétanisa, comme foudroyé… mais ce n’était plus la douleur qui le tordait, mais un fantastique orgasme !

« Jacqueline, c’est un plaisir de te dresser » lui murmura Katia à l’oreille tout en la caressant. « Tu as vraiment un cran exceptionnel ».

Par chance ou prémonition Jacqueline avait pris une semaine de congé. Quand je l'ai revue elle me dit : "C'était douloureux mais fantastique, mais tu m'avais dit qu'il y avait d'autres choses à faire en BDSM plus intéressant" ; tout a un début.

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