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Le blog d'un homme ordinaire
24 novembre 2006

Numéro 22

Découverte du salon

Je suis donc arrivé à un nouveau tournant de ma vie. Récapitulons

Travail : toujours plus dû au fait que de nombreux labos fermaient et que nous devions récupérer leurs analyses.

Vie de famille : ascétisme sexuel forcé, Anne devenant de plus en plus asexuée.

Un certain regret d'Isabelle et de ses frasques mais dans la vie il y a des limites à ne pas franchir. Elle a bien essayé de 'se racheter" en me proposant de l'humilier de toutes les manières possibles, voire extrêmes en utilisant toute la panoplie du BDSM hard ; devant ses collègues de travail ceci dans une soirée privée.

Comme je l'ai déjà dit, les pratiques BDSM doivent être "spontanées" et pas commandées.

En parcourant les annonces pour trouver un salon de massage, je lis un texte qui me paraissait sympathique. Je sonne à la porte d'une maison assez banale, ne payant pas de mine.

Ne sachant pas à qui j'aurais affaire, mon angoisse revient.

Mon fantasme m'ouvre la porte : une petite femme basanée, chevaux longs noirs "à la sauvageonne" descendants jusqu'à la taille, regard fougueux.

Le salon de présentation, verre offert sans engagement, discution du prix.

Simple : 1er massage (20 minutes) pour une masturbation sans capote ou une fellation avec capote ( il faut aimer) ; le massage "royal" complet (1 heure plus prolongations possibles) comprenant la masturbation avec massage des bourses,  la stimulation digitale de l'anus et pour finir pénétration vaginale avec préservatif

.

Dernier verre d'une boisson au choix offert à la sortie.

Prix raisonnables. A ceci nous verrons plus tard pouvait moyennant supplément s'ajouter "diverses autres choses".

Quatre chambres thématiques. Pas plus de trois clients en même temps, style artisanal plaisant. Pas de sodomies admises sur la fille, avec supplément divers à côtés par ex. : le fouet sur le client entravé sur le lit jambes et bras écartés sur le dos ou le ventre, etc.. nous verrons plus tard.

Comme pour mes voitures, j'ai toujours aimé les accessoires non compris  d'origine et ai souvent demandé des suppléments entre autres 2 filles (1 1/2 fois le prix).

A suivre : la salle de bain, la reine de l'enfilement de la capote (Zeda), première "séance".

Tout ceci débuta en 1998.

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