Numéro 9

4 mai 2006

Anne et la routine

Après cette première pénétration, tout a changé chez elle.
Les parents, connaît plus qu’en semaine.

Pendant encore quelques semaines le cérémonial du samedi soir (resto plus coucher chez moi). Le dimanche excursions diverses en voiture (à la mer –en à peine 100 km de Bruxelles- ou à la campagne). Halte dans une auberge pittoresque et re-resto (j’adore la gastronomie et le vin).

Comme elle avait eu une éducation religieuse stricte, je me suis étonné qu’elle ne soit plus vierge ( à 25 ans).

Réponse vague : « avant toi personne ne m’a pénétré, c’est un médecin qui a dû percer l’hymen pour des raisons de santé,… » Je doute encore.

« Et si je vivais avec toi tous les jours ? ». D’accord.

Exit parents.
Les rapports sexuels pouvaient être naturellement plus cool : la programmation du samedi étant supprimée.

Petit à petit, elle s’est « libérée » des ses complexes de son éducation religieuse. A noter que c’est souvent le cas pour beaucoup de filles dont l’éducation a été stricte : on passe de la glace au feu !

Un jour, elle revient de son travail (secrétaire de direction dans une firme aéronautique), je suis dans le salon me reposant du mien qui est stressant (technicien du labo de gynécologie). Elle me regarde d’un air bizarre. Elle tire ses chaussures et les lance dans la pièce, elle dégrafe sa jupe, elle tire son chemisier, elle enlève ses bas, elle ne portait jamais de soutien, ses petits seins fermes ne l’exigeant pas, elle tire son slip tanga et le lance aussi et avant que je puisse réagir (mon étonnement quand même), elle « m’arrache » littéralement mes vêtements et me dit « prends-moi, je n’en peux plus depuis cet après-midi ».

Aussi tôt demandé, aussi tôt fait. C’est dur sur le parquet..