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Le blog d'un homme ordinaire
24 mars 2006

Numéro 6

paulmmmmmm

Début de ma carrière hospitalière 

Début timide, mais vite l'adaptation.

Que raconter, tout peut se passer dans un hôpital. Exemples : le médecin de garde qui sort de sa chambre par la fenêtre et qui rampe dans la neige nu, sa femme arrivant; il couchait bien entendu avec une jeune infirmière.
Les drinks au labo qui se prolongent chez moi. Tous les membres 4 hommes et quatre femmes faisant un gigantesque gang bang (on était tous célibataires, échangisme total, sans capotes, personne actuellement n'est séropositif ! On avait tous plus ou moins 28 ans.
 

Un jour, lors d'une garde, le médecin m'appelle pour un cas gynéco, une femme se plaignait de douleurs vaginales. Allongée sur la table d'examen, le spéculum en place, il me dit : que vois-tu ?
Comme moi je pense. Coca Cola ?!!
Elle a dû avouer qu'ayant un désir subit, elle s'était mise très profondément dans le vagin un gros bic publicitaire de Coca Cola !! Qui dit mieux.
Il y aussi les infirmières de nuit à poil sous leur blouse, l'ouvrant devant" les pas trop malades".
 

Il y a aussi l'après travail. Tous les week-end une "amie" différente. Baiser dans ma caravane, à l'hôtel discret, chez moi. Tout passé en revue : fist fucking, anal, fouet, etc...

Nous formions dans ce labo un bloc uni, ce qui faisait notre force par rapport à d'autres départements.
Petit à petit, se mit à se dissoudre. Causes : lassitude de la fornication en groupe, certains se marient et se rangent. Des querelle internes surgissent : que faire quand son chef et soi-même se polarisent sur une même technicienne ? Problèmes !
Il valait mieux, au lieu de la solution de facilité
, prospecter ailleurs.
Comme ma mère et une de mes tantes étaient mortes tragiquement dans l'incendie d'un grand magasin de Bruxelles, mon père s'est retrouvé seul et je suis venu habiter chez lui.
Comme il n'était jamais là, ça ne posait aucun problème.
Il m'invitait souvent dans des bars à "entraîneuses" où il dépensait des sommes énormes. J'en ai profité.
Vu son niveau financier, c'était presque illimité. Je ne payais pas ou plutôt il payait.
Champagne à gogo, filles ayant reçu l'ordre de soigner le fils de Monsieur, main bien placée dans mon pantalon (lumières tamisées) et éventuellement prendre l'air (une petite pipe discrète dans un local anodin). Le lieu n'étant pas taxé comme lieu de prostitution.
J'ai fini par relouer un appartement. C'est le début des années 1972-73, années d'orgies d'amies.
En moyenne 1 à 2 par mois.
Celles qui me restent en mémoire : m_face21
 

Christine - amoureuse du Liban, partie rejoindre son correspondant, petite classique, brune, mijorée, admiratrice de sa grand-mère, poils pubiens blonds.

Huguette - véritable pute, maîtresse attitrée d'un homme politique de l'époque, une vraie soumise qui acceptait toutes les formes de relations sexuelles, spécialiste de la fellation, mot favori encore, encore, ... fatiguant ! poils pubiens noir encre. 

Maguy - ses longues jambes, jamais de slip, toujours accessible partout, écartait les les jambes à la moindre flatterie, pubis rasé 

Monique - aimant l'ésotérisme, mince, fine, petits seins fermes, aimant les positions du Kama acrobatiques, obsédée par sa sécheresse vaginale (vite résolue), poils pubis taillés artistiquement. 

Jeannine - super snob, très touffue, supernullité au lit. 

Danièle - qui à 30 ans avait fait très peu l'amour, difficile de vaincre les toiles d'arraignées, adepte du cunni, très clitoridienne, aux cris de jouissance à réveiller tout un quartier,...(à suivre)

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